lundi

Pourquoi la différence dérange ?

Les différences qui dérangent.
 Pourquoi ?

Un exemple de la différence qui dérange : Ghandi


Qu'est la différence ? 
L'autre est différent, l'enfant très jeune l'apprend à travers sa différence, par exemple, du petit garçon envers sa soeur, l'on appelle cela "l'altérité"

Cette différence là semble facile à reconnaître et s'intègre à l'individu assez facilement.

Pourquoi fait-elle si peur ?
Mais, il est des différence faisant naître la peur, dérangeante et source, parfois de haine.
 Quand l'intolérance apparaît elle provoque l'agressivité, refoulée ou pas, avec des conséquences parfois dramatiques.
  La projection intervient dans ce rapport à la différence.
  
 Qui sont ces "autres" source de questionnement ?

  • les homosexuels
Je suis étonnée qu'à notre époque l'homosexualité soit considérée comme une perversion, une anomalie de la nature et qu'à ce titre certain ou certaine devienne l'objet d'humiliation, de vengeance au pire.
Nous savons que celle- ci est biologique, génétique et qu'un être humain vibre, quel que soit sa couleur, sa religion reste soumis aux mêmes émotions.
Nous sommes tous égaux à ce niveau là. La souffrance n'a pas de frontière, ni d'idéologie politique ou religieuse.

Pourquoi la peur ?
En tout être humain il y a une part d'agressivité, utile à la survie, enfin qui fut nécessaire à la survie de l'espèce. 
Aujourd'hui, elle n'a plus de moyen d'expression réelle en occident.
La question à se poser : est-ce réellement l'homosexualité qui dérange ou n'est t'elle qu'un prétexte pour faire exploser cette agressivité personnelle ?
L'effet miroir : l'attirance pour ce que l'on méprise de soi-même

  • les étrangers 
Celui qui vient d'ailleurs est trop rapidement "jugé" sur des critères trop personnels avec des certitudes que non définitivement, ce personnage au faciès différent ne peut qu'apporter le désordre.
C'est parfois vrai, mais cela l'est aussi pour des Français pur jus.

Pourquoi la peur ?
La méconnaissance des cultures autres que la sienne, prêter à l'autre des intentions qui ne sont souvent que les nôtres (on appelle cela une projection)
Au lieu de s'intéresser à l'autre, n'oublions pas que l'on apprend toujours quelque chose de la différence, la facilité sera de la rejeter.
L'inconnu au sens large inquiète toujours.
Cultivez la curiosité pour comprendre que l'étranger, qui n'est pas un ennemi, peut vous apprendre comme lui  doit le faire avec vous, beaucoup de chose.
  • les handicapés, les malades
Voici un cas typique de projection.
Le regard se détourne, mal à l'aise car ce peut-être nous demain, ou un enfant naissant avec un handicap.
La société occidentale prône l'éternelle jeunesse, la forme à tout prix, alors cette confrontation avec un autre aspect de la vie, nous terrorise.
Nous pratiquons l'évitement.
Et croyez moi, les personnes handicapées souffrent de ce regard biaisé que nous portons sur eux, de même que leur entourage.
Ils n'ont qu'un désir : être, vivre comme tout le monde.

A un niveau moindre
  • l'autre qui ne réagit pas comme nous, le partenaire parfois.
De cette différence là, des tensions, des rapports de force naissent, une totale incompréhension de la pensée de l'autre qui n'est pas comme "Moi"
L'altérité : comprendre que l'autre est différent de moi, qu'il a le droit de penser différemment, d'aborder une situation, de la vivre à sa façon en réagissant ou agissant autrement.
La plupart des conflits viennent de cette catégorisation des individus en double de "MOI"
"Je suis ainsi, donc tu dois me comprendre et être comme je le veux"
Moralité : sachez écouter et prendre en compte ce que dit l'autre, sortez du besoin d'avoir raison à tout prix 

L'intolérance conduit vite à l'autoritarisme et parfois à la violence.

  • L'appartenance,  la non-appartenance
Je  m'appuie sur l'actualité (les gilets jaunes qu'ils faut reliés à d'autres mouvements du passé) pour cette partie de l'article sur la différence qui fait peur.

L'instinct grégaire pousse à se réunir dans un même mouvement, donc à appartenir, à faire corps avec les autres.

Qui oserait aujourd'hui dire : je ne soutiens pas les gilets jaunes, je ne suis pas d'accord ?

Vous le pensez peut-être ou du moins adhérer à une partie mais êtes en désaccord avec d'autres aspects.

Vous en avez parfaitement le droit.
Pour l'exprimer haut et fort encore faut-il se dégager du groupe, accepter le jugement et parfois la haine ainsi que la mise à l'écart.

Cette différence d'opinion peut conduire à tous les excès ceux ne la comprenant pas
Une bonne estime de soi-même aidera à s'affirmer ce qui implique une capacité à réfléchir par soi-même.

A l'identique pour un adolescent sollicité pour fumer des joints, il lui faut une sacrée force de caractère donc de confiance en lui pour réfuter l'appartenance au groupe.

L'indifférence dérange en divers domaines car elle renvoie toujours à soi-même,
à la solidité de son MOI,
 à sa capacité de résistance pour ne pas faire partie de la meute.

Une bonne connaissance de soi-même et une acceptation de ce que nous sommes sont les principaux ingrédients de l'affirmation, ceux qui permettent d'accepter la différence pour la transformer  en 
une richesse, une complémentarité et non une opposition.

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mercredi

Saint-Tropez et les voiles

Saint-Tropez et les voiles.

Ils sont là !
Saint-Tropez revêt sa tenue de fin de saison à tendance sportive avec les Voiles de Saint-Tropez.

Magnifiques voiliers internationaux, aux couleurs du monde...
Évènement cosmopolite où la cité se décline en version polyglotte.

A voir pour le plaisir des yeux.
A suivre, de préférence en bateau.
Les photos ci-dessous :
La première lors du trajet Ste-Maxime/Saint-Tropez en immersion totale.
Un pur moment de bonheur, puisque le vent est de la partie.
La deuxième prise par un ami.

Profitez de ces quelques jours pour pratiquer l'Attitude contemplative de l'instant.














samedi

Les commentaires et réponses de ce blog

Bonjour,

je viens de constater que certains commentaires ne furent pas publiés...
Pourquoi ?
Sûrement un bug informatique suite à un déménagement, ou un autre problème.

Je vous prie d'excuser ce long contretemps, je viens de les publier avec retard.

Je tenterais d'y répondre.

Je reprends l'écriture d'articles très rapidement.

A très bientôt

Laurence


lundi

Les hommes & l'amour...sont-ils si différents de nous ?

Les hommes et l'amour...sont-ils si différents 
de nous les femmes ?

Homme, être humain tout simplement !

Comment aiment-ils ?
Pourquoi  ne nous comprenons pas toujours ?

Femme/homme nous appartenons à la même espèce, celle de l'humain ou homo sapiens.
Notre différence ce chromosome Y qui signe l'homme, la femme est XX

Comme tout humain divers facteurs font ce que nous sommes et devenons individuellement.
La génétique, l'hérédité, la biologie, l'environnement incluant l'éducation, le lieu géographique dans lequel nous vivons, notre rapport aux autres dès la petite enfance, la psychologie personnelle découlant ici aussi de ces facteurs.

Dans l'affectif, le rapport aux parents, le lien au père pour un homme est important, celui à la mère l'est aussi, le couple parental formé influence autant l'homme que la femme.

Les vieux clichés :
ils sont insensibles
ils sont égoïstes
il faut les tenir en laisse (!)
etc.

Nous ne sommes pas si différents.

Voici 5 articles à lire, auxquels vous accédez en cliquant sur le lien.
Ces 5 articles n'expliquent pas tout, loin de là mais ils remettent à la juste place les vieux clichés.


Si votre couple est dans la tourmente ou si vous désirez éclaircir votre relation et communication, sortir du mode conflits etc.

mardi

Quand le stress vous mène la vie dure ! Pourquoi et comment ?

Le stress mène le bal et vous mène la vie dure ? 
Un peu de recul et de réflexion pour avancer !



  • Le comportement  se décline en 3 dimensions
  • une situation
  • une ou des émotions
  • des pensées
Tous les êtres humains sont soumis à ce postulat, entre ces 3 dimensions interagissant sans cesse pour créer un état....positif, neutre ou négatif.

Qu'est le stress ? Une difficulté d'adaptation à une situation.
Peur de ne pas être à la hauteur, de ne pas y arriver, de ne pas être apprécié etc.etc.
Ces appréhensions incitent à un comportement inadapté créant ainsi le stress.
le stress se décline à divers niveau sur une échelle de 0 à 10

Celui, celle qui n'ose pas dire par crainte de déplaire va ruminer le sujet à aborder et imagine le pire, ne dira rien, se mettant ainsi dans un état de tension extrême.

Il, elle submergé(e) par des émotions contradictoires, sans jamais imaginer que la situation puisse, tout simplement, évoluer sans dégénérer en conflit !

CONFLIT : le vilain mot redouté par les stressés.

Tout avis contraire dans leur esprit ne peut que finir en bagarre, humiliation etc.
Donc, il, elle fuira l'affrontement quitte à s'en rendre malade.

Le stress leur mène la vie dure et trop souvent pour des petits riens prenant une dimension dramatique.
Un cercle vicieux s'installe, sans oublier que la rumination fait le lit de l'angoisse et que domine la peur de... assaisonnée de culpabilité.
Comment ne pas s'en vouloir de ne pas oser simplement Non ?

Aïe, hurle t'il ! Je suis nul(le), bon(ne) à rien. 
Autant dire que l'image, l'estime de soi-même en prend un coup.

Oui, je sais, papa vous rabaissait souvent, il n'acceptait pas d'être contredit et vous n'aviez pas le droit d'exprimer un avis quelconque qui ne soit pas celui de papa.

Ok, mais vous n'êtes plus le petit garçon ou la fillette soumis au vilain caractère de papa grincheux.

Oui, je sais encore que des années de rebuffades laissent des traces à travers de vieux automatismes :
se taire plutôt que d'essuyer l'agression de papa.

N'empêche que enfant déjà vous râliez intérieurement, installé dans une peur qui persiste devenu adulte.

Apprenez à pensez en terme de solution et d'adaptation.
Il y a toujours une solution, ne l'oubliez jamais.

A ce jour, comment peut réagir ce patron auquel vous n'osez pas dire ; "je n'ai pas le temps de faire ceci "
Car vous n'avez vraiment pas le temps de gérer ce surcroit de travail.

Vous avez le droit d'exprimer, en argumentant que non, si vous acceptez, le travail sera bâclé avec des conséquences négatives sur le résultat qu'espère ce patron.

Ne rien dire vous entraine dans une spirale émotionnelle intense de peur de ne pas y arriver, donc dans un stress fatiguant et coupant du recul nécessaire pour effectuer un bon travail.
Une surcharge de travail conduit à un stress intense qui sur la durée est invivable.

Peser bien les conséquences des deux aspects possibles de la situations.

Le patron n'est pas le père, vous n'avez plus 7 ou 8 ans, vous aimez le travail bien fait mais il y une limite à votre endurance.

Dans ce contexte, l'adaptation à la situation consiste à dire non," il m'est impossible de prendre ce travail en charge maintenant, je m'en occupe dès que j'ai terminé."

Soyez certain qu'il entendra votre raisonnement et que vous serez fier de vous et plus détendu.

Évitez d'imaginer les réponses qu'il aura, ne pensez pas pour lui et surtout en vous affirmant vous dopez l'estime de vous-même en comprenant que tout Non ne signifie pas conflit.

Les liens pour accéder aux articles sont en vert
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Memo, il n'y a pas de bon stress

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