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dimanche

La liberté, égalité...de quoi parlons-nous vraiment ? Philosophie sur ce thème.


Liberté, égalité et fraternité !
Le 14 juillet symbolise ces notions.
Un peu de philosophie sur ce thème




Souvenons-nous du Covid avec un récurrent thème médiatique sur :
"après sera autre"

Cet autre s'auréolait de demains enchantés, plus conscients (de quoi ?)
plus sains (á définir svp) d'un essentiel (?) plus libre etc.

J'avoue que cet "Essentiel" n'a pour moi aucune résonance, qu'est donc 
l'essentiel pour l'humain, manger, boire, un toit sur la tète.
L'essentiel relevé donc du vital ?

Je pense que pour beaucoup "essentiel" signifie signifie se débarrasser du non essentiel donc du superflu 😉
Le superflu devient l'objet subjectif des besoins non essentiels, il s'agit de se dépouiller de ce qui ne sert a rien ! 
Dans ce rien, chacun mettra ce qu' il veut donc vaste sujet bien  rempli !

La crise du Covid n'aura changé que peu de chose, l'après s'écrit comme l'avant car accepter le changement, de modifier des comportements ancrés par facilité, confort demande une prise de conscience et une volonté.

La Liberté est-elle un besoin, nous l'avons bien que nous y soyons tant habituée
qu'elle ne signifie plus grand chose du moins pour certains d'entres-nous.
Il suffit de regarder ailleurs ou de voyager pour comprendre son sens.

Carl Gustav Jung disait " La liberté implique la responsabilité"
Il y a quelque chose á cerner dans cette phrase et ce mot "responsabilité"
Responsable de soi, de ses choix, décisions et les assumer quelles qu'en soient les conséquences

L'Égalité pour les occidentaux nous la vivons mais cette égalité des droits reste parfois fragile, voir la restriction á l'avortement aux usa, pays symbole de liberté,
décision dramatique teintée du fond religieux qui au XXIème siècle semble vraiment obsolète.
Les femmes ont légalement les mêmes  droits que les hommes au prix d'un combat pas si ancien que cela.
Ci-dessous quelques dates clés sur ce sujet :


1945.
La femme obtient le droit de vote.
1950.
Naissance de la pilule contraceptive.
1965.
La femme obtient le droit de gérer son patrimoine, exercer une activité, ouvrir un compte sans l'autorisation de son époux.
1967.
La pilule contraceptive est accessible à toutes les femmes.
Vulgarisation de la machine à laver, envahissant les foyers.😏
1975
Loi du  relative à l'interruption volontaire de grossesse, dite loi Veil est promulguée.

A l'étranger:
fin de l'Apartheid en Afrique du sud le 30 juin 1991.
Aux usa, en juin 1967 les mariages interraciaux sont autorisés

😊Liberté  et Égalité 
sont des sœurs jumelles ne l'oublions jamais,
  faisons tout le pérenniser😉

La Fraternité, là je bloque un peu tant cette notion semble hétérogène en fonction des situations, les catastrophes rassemblent pour de bonnes ou mauvaises raisons, elles créent un lien éphémère mais solide un temps donné.

La discrimination au faciès domine trop notre société, les facilités accordées aux ukrainiens  en fâchent certains avec raison.
Les Français cultivent superficiellement la fraternité qui ne doit surtout pas bouleverser le quotidien, le confort de vie.

Notre société cultive en premier le "Moi" d'abord,  la satisfaction de mon désir immédiat l'emporte au détriment du collectif car tel est le sens de la Fraternité : faire partie d'un tout dans lequel  chacun á sa place en prenant l'autre en compte sans lui imposer, faire porter ce qu'il nous appartient de réaliser tant matériellement que psychologiquement.
Le confucianisme inculque ces principes dés le plus jeune âge.


Liberté sans elle l'Égalité est un peu amputée, la Fraternité devrait être le ciment de cet ensemble  pour une parfaite cohérence.

Je vous souhaite un 14 juillet 2022 haut en couleur et en fraternité !


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mardi

S'affranchir des injonctions médiatiques et autres pour être soi, doper la confiance son estime et gagner en liberté

S'affranchir des injonctions médiatiques et autres pour être soi, doper sa confiance et vivre plus librement.


Libre d'être !


Médias, médias télévisuelles, magazines, réseaux sociaux et autres 
nous inondent littéralement 
de 
modes d'emplois sur le comment faire, de sondages, de "il faut que" codifiant notre vie en fonction de critères qui ne sont pas "nous" !
Il y a de quoi se perdre si ces sirènes médiatiques se transforment en doute sur soi, sur le rapport á l'autre
Entre ce qui est bien/bon et ce qui ne l'est pas comment ne pas se noyer  et surtout comment transgresser ces injonctions concernant tous les aspects de notre vie ?

Les premières questions á se poser : d'où viennent ces codes de vie, qui les a mis en avant, quelles sont les preuves ?
Ne pas perdre de vue que se cache toujours du marketing derrière ces analyses.
L'info en continue incite les médias divers et variés á vendre  un article, un magazine, un produit ou une idée, il en est de même pour un livre. 
Rien n'est innocent


Voici quelques injonctions serinées qui sont autant de freins á l'équilibre intérieur et perturbent la vie ne société, le rapport á l'autre laissant peu de place á l'imprévu, á l'inconnue qu'est l'existence.

Ces injonctions sont  parfois dangereuses, d'autres grotesques.
Pourquoi ?
Chaque individu diffère de l'autre, la psychologie, la biologie, l'environnement, l'éducation sont des facteurs qui justement font que nous sommes autres que le voisin, que le frère, la cousine etc,
Le danger est de vouloir ressembler, agir en fonction de ces injonctions, une personnalité fragile sera plus encline á s'y attarder voire en faire une obsession génératrice d'anxiété.

La transgression est un bon moyens de se libérer en agissant en fonction de notre personnalité

Ne pas oublier les injonctions éducatives qui peuvent devenir un formatage au détriment de la réelle personnalité de l'enfant mettant l'accent sur la réussite plus que sur le bonheur ou sur la perfection faisant refuser l'échec etc.

La participation passive devient une dépersonnalisation, car si : "je suis moi en affirmant mes gouts, je prends un risque"
Le seul risque est de se perdre de vue, de douter de tout, de soi-même, de culpabiliser si cette tendance est déjà présente, de ne plus savoir comment se comporter.
Pour s'affranchir, le recul s'impose comme la faculté de réfléchir par soi-même devient plus que jamais nécessaire.

Faites-vous confiance pour ne pas plonger dans des comportements ne vous ressemblant pas  

S'affranchir des injonctions imposées par la société commerciale, les médias grands pourvoyeurs de :

 "il faut que vous fassiez ceci pour être cela ou que vous achetiez ceci pour devenir extraordinaire" 
Info : une voiture ne vous rendra jamais plus intelligent(e), meilleur(e), idem pour un téléphone, un véhicule comblera un EGO mais ne vous changera pas, il y aura un effet miroir peut-être, une satisfaction á posséder si l'achat correspond á un vrai désir

"bannissez la viande de votre vie, cultiviez vos légumes etc..." le green washing trés tendance joue sur la culpabilité
Info : il appartient á chacun de nous de faire au quotidien les gestes moins pollueurs, mais s'interdire donc se forcer á... ne semble pas réaliste !
A moins d'avoir  l'âme d'un agriculteur ou de ne pas supporter la viande, d'être allergique a certains produits, donnez-vous le droit de consommer avec modération ce que vous aimez et si possible de bonne qualité votre morceau préfère
La notion de plaisir importante doit guider des choix.

" faites l'amour au moins X temps, sinon vous êtes nul(le) et au moins X fois semaine sinon re-nul(le) etc.!"
Info ; sur ce sujet la aucune donnée scientifique le prouve, ici comme ailleurs doit primer l'individu et l'accord avec l'autre, la libido dans son besoin dépend de chacun(e)
La performance, surtout au masculin, dans ce domaine conduit souvent á des impasses.
Et si un domaine ne se codifie pas tant il relève du personnel, de l'individu, c'est bien celui de la sexualité et de l'amour

"madame, soyez une femme libre, sexy et mère parfaite, prenez soin de vous etc."
Info : femme parfaite, ce schéma cache du stress et vouloir l'être en rajoute, d'autant qu'il y a beaucoup de contradictions dans ce comportement.
Donnez-vous le droit  l'erreur, celui de vous poser pour souffler. 
A vouloir faire tout parfaitement survient le risque de rater la relation humaine, le lien á l'enfant.
Une superposition de stress peut mener droit au burnout

"ne brimez pas vos enfants, écoutez-les, surtout ne criez pas etc."
 Info ; père, mère ici aussi donnez-vous le droit de parfois vous mettre en colère, de crier un peu trop fort, très, très ponctuellement cela n'a pas d'incidence, apprenez á relayer le ou la partenaire si vous êtes au bord de la crise.
Un enfant recherche un cadre, en a besoin pour se construire.

"monsieur restez homme, solide, bon mari, père et amant, faites du sport etc..."
Info ; la  même remarque que pour la femme, la perfection source de stress gâche ce que vous êtes, écoutez-vous prenez en compte vos ressentis, vos désirs, vos gouts.

Une dernier chose, dans les médias actuelles, les psy parlent de traumatisme, de SSPT, de dépression, cette diffusion très négative ne reflète pas l'état psychologique des français, du moins pas á ce niveau sauf chez certaines personnes aux profils particuliers.
Les malades de la covid, les familles ayant perdus un proche, les personnes en grandes difficulté professionnelle et/ou financière, certains étudiants, des personnes seules peuvent traverser un épisode dépressif.

Un ras le bol général concerne la majorité d'entres-nous mais lassitude n'est pas dépression ni traumatisme.
 Stop  ce vocabulaire négatif, insécurisant, provoquant plus de stress, d'anxiété que  ne l'est la réalité.
Il s'agit d'une autre forme d'injonction, plus pernicieuse dans ses effets secondaires, sans oublier le markéting que cache ces propos.

Prenez soin de vous, faites-vous confiance, écoutez votre voix intérieure, ne vous laissez pas envahir par ces sommations médiatiques. 

Si vous vous forcez á agir en fonction de telle ou telle injonction qui devient une dictature personnelle  avec des :

 "il faut que je sois, fasse..." stop, ce signe vous dit "ne le fais pas, ce n'est pas toi" "donnez-vous le droit de dire NON, d'afficher et affirmer vos choix"

INFO

Si vous manquez de confiance ou estime en vous-même cet affranchissement des injonctions et autres codes est un bon moyen d'en acquérir

S'affranchir ouvre ce chemin de liberté vers soi-même, permet de se retrouver en toute conscience.



Ou Ici pour me consulter en cabinet

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11 mai 2020 ! La liberté n'est pas au bout du chemin, l'individu devient acteur de sa vie.


Quand le covid mène le bal, la liberté n'est pas au bout du chemin
11 mai 2020 ! 
A chacun d'agir pour se sécuriser et protéger les autres.

Attendre 

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 le 11 mai ouvrira une porte vers un espace, restreint, de liberté.
 Prenons au sérieux ce Covid-19 qui n'est pas virtuel,
 mais une cochonnerie avec des symptômes inédits.

En faisant ce qu'il faut, nous en éviterons sa diffusion.
 Etre responsable de soi et des autres, n'est-ce pas le crédo des psy ? 

Vu de loin sans être touché de près, ce virus semble presque irréel, comme un film catastrophe. 
Or cette pandémie est réelle et tue !

Bien sûr qu'elle n'est pas "spectaculaire" au point de susciter l'effroi au quotidien, ce n'est pas la guerre et loin de là.

 Si l'avez rencontré ou votre entourage, vous cernez très bien le danger et la nécessité de s'en tenir le plus loin possible.


Il ne s'agit ni de dramatiser, ni d'optimiser mais simplement de prendre les précautions que les médias diffusent.

😊 SORTONS COUVERTS😊
 pour rester debout et in fine libre,
 cela dépend, aussi, de nous individuellement. 
La prise de conscience s'impose.

Ne l'oublions pas, c'est à notre échelle d'individu que nous pouvons limiter la contagion

La liberté
Laurence Psychothérapeute

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Liberté d'expression, censure et colère. Avons-nous, encore, le droit de tout dire ?

Liberté d'expression, censure, auto-censure et colère.
Avons-nous, encore, le droit de tout dire ?


Vivre libre d'expression ou s'auto-censurer ?

Avons-nous, encore, le droit de tout dire ?

Ma réponse est "non"
Avons-nous encore le droit de faire, vivre comme nous le voulons ?

Ma réponse est "non"  à nuancer.

Aimez-vous le web, téléphoner de partout et n'importe où ? Ou ceci vous ennuie totalement ?  

De quel droit impose t-on, car il s'agit bien de ça, l'utilisation d'internet.

Nous avons le droit de n'avoir aucun plaisir à l'utiliser, non par méconnaissance mais par goût. 

Le refus de s’aliéner à une machine semble légitime, comme celui de pas écouter de la musique ou une radio.
Pourquoi nous "contraindre" à cette dépendance "isolationniste", à des frais supplémentaires ?
Une intrusion inquisitrice dans l'existence de chacun, pour paramétrer les plus fragiles, un conditionnement réduisant l'homme à un robot dont la faculté de penser par lui-même s'amenuise déjà.

Peut-on vivre bien en étant "différent" ?
Ma réponse est "non"
 rien n'a évolué dans les mentalités, tout dépend ici du milieu et du secteur géographique où vit la personne.
Homosexuel(le), infirme, personne très âgée, obésité etc..
 Le regard de la société vous renvoie de vous-même une image négative et c'est là que le mal-être s'installe.

Vous n'êtes pas conforme aux critères d'une société trop superficielle...cachez-vous !
Je souhaite que ce type de comportement "ostracisant"" reste rare

Avons-nous le droit d'exprimer une nuance, un désaccord, en dehors du cercle des intimes ?

Ma réponse est "non"
Ce petit article n'a rien de politique car je suis a-politique.
Il exprime une "sidération" au vu de ce monde occidental qui, en dehors de la technologie, régresse  dans l'infiniment petit plus qu'il n'évolue.

Le seul avantage de l'âge : vieillir offre un regard comparatif, panoramique sur soi-même, les proches, la vie, les sociétés humaines et/ou de noter l'évolution de l'humanité.
Flash back sur le passé  proche.

Était-ce mieux avant ? NON,
 il faudrait définir cet "avant" - je reste à l'échelle humaine d'une vie,  
du concret car je parle du vécu !
Était-ce pire avant ? NON
au regard de l'échelle d'une vie humaine contemporaine.

Si nous regardons  au 19ème et au début du 20ème siècles, je dis OUI les conditions de vie étaient épouvantables, la médecine moderne balbutiante, les droits de l'homme inexistant et pire encore pour la femme et les enfants.

Qui censure qui et quoi ?

Officiellement, légalement : personne sauf pour les situations extrêmes.
Sommes-nous encore dans une démocratie ?
OUI,
et que ceux criant "à bas la dictature" aillent faire un tour dans certains pays vivant sous des lois féodales, dictatoriales, dans lesquelles tout type de manifestation ou de rassemblement est interdit et puni par la loi !

Nous vivons en démocratie, tout ou presque reste permis sans retour de bâton, bien que sournoisement une contrainte envahie les foyers : les applications "pensent à tout"  à votre place, tout le monde se dirige vers le même endroit dixit tel site ou émission etc..etc...

Notre cerveau, les neurones non sollicités se meurent, les connexions traînent; bref un cerveau qui ne sert pas assez fonctionne moins bien, certaines capacités s'éteignent comme l'intelligence par exemple.
Le cerveau a besoin de sucre, de gras...sans excès bien sûr, les supprimer totalement représente un risque.
Manger du gluten ?
 Quelle horreur ou quel erreur de ne pas en manger sera plus exact, sauf en cas d'une maladie orpheline, ne le supprimer pas, le corps en a besoin
Madame, enceinte !
 Interdit de manger de la charcuterie, de boire un verre parfois, du poisson, de la viande etc...et si nous faisions confiance à la femme enceinte pour s'écouter, savoir se faire plaisir de temps à autre semble sensé !

Protection, protection, prévention, précaution...
STOP ! la protection devient la dépendance, la prévention transforme le moindre acte en angoisse, la précaution enfin le principe de précaution rend timoré, lâche.
Le TROP devient l'ennemi du Mieux en coupant l'individu de ses ressources personnelles.

Le problème n'est pas l'état posant l'interdit, mais l'individu qui en masse génère des interdits au nom de...la liberté d'expression personnelle se devant d'être conforme à ce que cette masse décide: "c'est un sale con" il est interdit de nuancer, d'argumenter...la sanction est irrévocable, condamné  et gaffe si tu ne veux pas l'être aussi, soit en accord avec la masse.
Nous appelons ce type de société : "dictature" et nous y allons.
Est-ce l'ennui, le manque d'adrénaline, de sensationnel qui génère autant de colère chez l'individu ?
Le trop de protection, de confort, de sans risque rendent linéaire, monotone l'existence...
Il suffit d'apprendre à s'occuper autrement que dans un état de haine dévastatrice.

Le manque de liberté vient de l'auto-censure s'imposant par le biais des autres qui ne sont ni des intellos, ni des penseurs, ni des scientifiques, rien d'autre qu'une masse d'individus faisant bloc. 

Sauf que l'auto-censure prend un contrôle pervers de tout à chacun et que la réelle notion de "liberté" au sens large se pose
La loi interdit de tuer, voler et violer, terroriser et battre autrui, ce qui semble la moindre des choses pour une société se voulant évoluée, démocratisée et tolérante.

La société c'est un ensemble d'êtres humains vivant en groupe organisé sous des lois, règles communes auquel le groupe doit se conformer.
Au sein de cette société, se créent d'autres sociétés régies par d'autres lois, ici celles d'inconnus se reconnaissant à travers le moralisme, la rage alimentés par des rumeurs.

Le fond, la vérité ? 
"On s'en fout, le truc qui fait du bien : déverser sa haine, injurier"
Une sorte de thérapie "poubelle" pourquoi pas tant que cela ne détruit pas !
Je n'adhère pas du tout á ce comportement
Les réseaux sociaux deviennent un déversoir de haine, de rancoeur, de virulence, violence. 

Pas de nuance, pas de réflexion, pas de recul, de l'immédiat rien que de l'urgent, du zapping, du superficiel...les journalistes perdent les règles de base de leur profession 
"vérifier avant d'informer"
Le quidam lui ne s'informe pas, il balaie large en quête du sensationnel, de la rumeur, fausse ou vraie, peu importante, y rajouter sa touche d'aigreur nourrira la discussion du soir !

Les médias ? 
Les journalistes pratiquent la langue de bois, exprimer le fond d'une pensée "non conforme", devient un risque !
Leurs invités de divers milieux s'y collent aussi.

Qui ose aujourd'hui "dire" prendre le risque d'une démolition médiatique, parfois psychologique sur les réseaux sociaux par un groupe de frustrés planqués derrière des pseudo afin de déverser leur haine de l'autre, leur haine d'eux-mêmes !

L'art pour s'évader et se "lâcher" sainement.


Si nous laissons faire, sans prendre le contre-pieds afin de renouer avec le fondement de la démocratie : la liberté d'expression, le respect de l'humain,
nous sommes foutus, le respect de soi-même s'effilochera, le silence deviendra "le principe", en perdrons-nous la parole ?


N'est-ce pas ainsi que la
 dictature s'installe ?
Une passivité consentie par lâcheté qui devient facilité pour finir en démission totale.

Ni gagnant, ni perdant, rien que le vide, le silence d'une société devenue muette à force de lâcheté.

De l'ennui nait le chaos, la nature détestant le vide et l'homme plus encore, le réveil signera soit une forme de renaissance humaniste soit un effondrement de la démocratie.

Quand la société recule de plusieurs décennies, ceci dit, les mentalités n'ont pas évolué tant que cela du moins pas au rythme de la science et de la technologie, je m'interroge et m'attriste, car le bien être est là ! Nous avons tout pour vivre bien et malgré "la rogne" nous vivons bien, restons conscients de ce que nous avons...

 La colère aide à la vie, l'agressivité est un instinct de survie, mais ici nous sommes dans la haine, la plainte, la mauvaise humeur...projetées sur autrui, une forme de prise de pouvoir le plus souvent pour éviter de se pencher vers soi-même.

Nous avons le droit d'être en colère, de manifester, d'exprimer, apprenons à canaliser nos colères pour les utiliser au bon endroit !
MAIS il est possible d'agir loin de toute haine qui collectivement détruit tout autant qu'individuellement.

Prendre le temps de réfléchir aux conséquences de propos diffamatoires, de la méchanceté...il y a toujours une causalité à nos comportements.
La limite est celle que l'on sait s'imposer dans cette conscience "je n'aimerais pas que l'on me fasse vivre cela, que l'on me salisse sans connaissance réelle d'un contexte"

Revenons vers le beau, l'art, la création, l'écoute et la compréhension de ce qu'est l'autre, le différent de nous qui peut tant nous apprendre. 


Hypersensibilité & "besoin de reconnaissance".

Hypersensibilité & besoin de reconnaissance.

Qu'est le besoin de reconnaissance ?
A-t-il un lien avec l'hypersensibilité ?

L'univers émotionnel !


Info.
Je  l'écris encore une fois : un article est généraliste et parfois un peu caricatural car il décrit un profil type, sans nuance, ce qui dans la réalité  n'existe pas.
Du "normal au pathologique" découvrons ce que cache, parfois certains mots !

Hypersensibilité...c'est devenue à la mode,  faut bien "inventer" pour vendre !
Vous pensez que je suis dans le faux ? Peut-être ?
Les gens sont plus ou moins sensibles, l'hypersensibilité n'a aucune reconnaissance scientifique

Besoin de reconnaissance... les deux se marient parfaitement si nous parlons du besoin quasi viscéral de reconnaissance.
 Derrière le "besoin" se cache la "peur" de...manquer, pas être à la hauteur, pas reconnu etc...

Tout ce que j'ai lu sur l'hypersensibilité me semble si vague et général pouvant concerner tout le monde.
Dans ce grand bric à brac des "symptômes n'importe qui va tilter en se disant "ah, oui, moi aussi je me reconnais là dedans !"

Pour moi rien de nouveau à ce sujet, si ce n'est d'autres mots sur ce que nous connaissons depuis longtemps : anxiété !
Ici comme ailleurs, l'anxiété touche des personnalités très diverses, certaines très sensibles  et d'autres non.

D'évidence l'anxiété, le stress fragilise psychologiquement créant un état de vigilance et une hyper-réactivité aux émotions, car l'émotion est toujours le facteur problématique, entrainant des comportements particuliers dont cette fameuse peur d'avoir peur, que les phobiques connaissent bien, 
 assortie "du besoin de reconnaissance" :

  • de plaire,
  • d'être aimé(e) avec 
  • une tendance à perdre pied si
  •  la contrariété montre le bout de son nez, contrariété générant
  •  une susceptibilité.
  • le repli sur soi-même si...

Le débordement émotionnel que vit le Bi-Polaire de Type I et II ou  le Border-line.
Deux personnalités immergées dans des émotions dévastatrices car si excessives qu'elles coupent de la réalité.
Un petit rien de rejet,  refus interprété comme une non-reconnaissance les envoie dans un univers émotionnel inhibant tout le reste.

Hypersensible ces deux profils ? Oui et oui
Le besoin de reconnaissance ? Oui et oui


Hypersensibilité & besoin de reconnaissance
pour certains oui, il y a fusion de ces sensations
pour d'autres non !

Alors "Besoin de reconnaissance & hypersensibilité",
 une histoire d'amour ou une relation empoisonnée ?
Ces contradictions inhérentes à l'humain en les acceptant
vous en tirerez de un équilibre.

Je résume cela par :
 oui, l'anxiété s'assortie, très généralement, 
du "besoin de reconnaissance" à divers degrés.

Créer votre échelle de valeur de 0 à 10 sur ce thème.

Les anxieux ne sont pas tous des hypersensibles dans le sens de la tendance actuelle, mais ils sont en certaines situations stressantes débordés par leurs émotions.

Voici un dialogue, entre Alia et Bony, éclairant tout ceci :

  • A  "Je trouve ce commerçant très agréable et maitrisant bien son sujet"
  • B  " Tu parles de la reconnaissance professionnel !Cette reconnaissance là est positive et normale."
  • A "Il y a donc une reconnaissance anormale ?"
  • B "Le voir ainsi semble réducteur,  rien n est jamais noir ou blanc, enfin pour certaines personnes la vie est perçue ainsi, bon, pas bon, tout noir ou blanc...le reste n existe pas puisque elles aiment ou détestent."
  • A "Quand je reconnais mon voisin, ma mémoire restitue le personnage, je sais qui il est"
  • B -"Ici, tu est hors sujet"
  • A "Ok, mais je sais que ce monsieur m'aime bien et c'est important"
  • B "Pourquoi l'est-ce ?"
  • A "Imagine qu'il m'ignore, je vais me demander ce que j'ai fais de mal et risque de gâcher ma journée"
  • B  "Relativise un peu et cherche à comprendre au lieu de te sentir responsable" !
  • A "Tu me demandes de relativiser mais comment faire, par exemple Pierre, mon ami se moque de ma robe alors que je la trouve super. J'ai pleuré toute la nuit car je ne comprends pas sa réaction et même s'il vient s'excuser, je l'envoie promener"
  • B "Ah, le noir ou le blanc...Je sais qu'un rien te vexe et que tu le vis dans tes tripes, mais prends du recul.
  • -Le voisin est peut-être préoccupé par un problème...
  • -Ton ami est moqueur, accepter ses excuses au lieu de le et te punir semble plus sensé ...
  • A "Bony, je devais dire "non" à mon boss de plus en plus exigeant, donc je fais, je râle, rumine et Pierre me sert de déversoir quand je rentre. Je stresse sans cesse, je crie etc. en 1 je ne veux pas déplaire à mon patron et 2 je culpabilise envers Pierre en 3, je sens que je vais craquer"
  • B " tu confonds sûrement reconnaissance professionnelle et personnelle, dire "non" je ne peux pas ou je m'en occupe demain, ton boss le comprendra et à priori ne t'en appréciera pas moins.Parfois, mieux vaut accepter ses émotions, se les interdire les amplifient, elles reflueront doucement; tu risque de craquer si tu laisses tout en l'état...agir au lieu de réagir.
  • A " que de confusion et je le sais, mais embarquée je ne gère plus rien, enfin pas grand chose. Je devrais peut-être consulter ?
  • B " excellente idée Aria, s'accepter reste un grand défi bien qu'essentiel pour se connaitre, assumer etc."
Aria et Bony "à bas le stress et l'anxiété et vive la VIE"
Estimons nous sans nous dévaloriser si souvent, sans rejeter ce que nous n'aimons pas de nous-même, acceptons nos fragilités, émotions qui nous font humains"

Se décline également au masculin ou féminin/ masculin puisque Bony est, peut-être, un homme ! 

Je vous laisse faire la part des choses dans ce dialogue entre:
 reconnaissance et hypersensibilité !

Histoire d'amour ou relation empoisonnée, l'anxiété produit des effets complémentaires et contradictoires.
Vivre avec permet d'exister et d'assumer ce que nous sommes.

Cette non reconnaissance de soi-même produit des dégâts souvent dommageable.
La suite dans un prochain article.

L'hypersensibilité & le besoin de reconnaissance quand pensez-vous ?


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vendredi

Liberté d'expression et d'être...La mort d'un homme.
 
Tableau de Magritte


Ma participation à ce drame, car l'on ne peut rester muet face à tant d'horreur !
De tout temps la religion fut source d'excès et le catholicisme en est un exemple car longtemps il fut à l'origine d'atrocités...
Le pouvoir toujours le pouvoir, la domination de l'autre par la terreur, quelle ironie !

Le fondement des religions reste la tolérance, l'acceptation de la différence.

Je suis athée, je respecte les croyances d'autrui, la démocratie nous offre ce possible et c'est un bonheur.

Mais voilà nous sommes au XXI siècle.
Quel que soit la croyance,  elle ne donne pas le droit de de tuer.
Trop de gens meurent encore dans de nombreux pays au nom d'une religion totalement alternée par une minorité.


 Notre LIBERTÉ de parole,  d'expression, d'être n'a pas de prix,

 fruits du combat de milliers d'individus auxquels nous la devons...
Elle ne peut être "assassinée" !


Que cette horrible tragédie réveille notre "sentiment" d'appartenance, se taire comme se terrer ne sera pas la solution pour conserver la démocratie, la liberté.

Quel que soit notre nationalité, notre culture, notre couleur de peau
nous avons tous et toutes ce même droit :
"être libre "

Voici ce que dit
 "Nelson Mandela"
"Je ne suis pas vraiment libre si je prive quelqu'un d'autre de sa liberté.
L'opprimé et l'oppresseur sont tous deux dépossédés de leur humanité"


Et ceci, toujours de Mandela !

mercredi

Dire "Non", s'affirmer, oser s'opposer ! Voici un mode d'emploi.


Dire "Non", oser s'affirmer, s'opposer !
Mode d'emploi.


Je l'entends bien, trop, souvent de la part de mes patients (es) ce :
"Je ne sais pas dire non, j'ai peur de contrarier, que l'on ne m'aime plus, j'évite le conflit"
"Si, je ne suis pas d'accord, je n'ose pas le dire"
"Exprimer un contraire, son avis c'est prendre un risque" etc...


Le désaccord étant assimilé à conflit, se taire semble la solution !
Pas si simple que cela, 
car ce silence pèse lourdement avec le risque d'explosion, tôt ou tard.
Le risque ? 
Dire en vrac et sans nuance, avec rage, colère et parfois haine ce qu'il aurait été
si simple d'exprimer...calmement.

Le "je ne suis pas de cet avis"
 ne dégénère pas systématiquement en combat, en rejet.
 Une discussion ouvre vers d'autres perspectives, opinions.
Pour comprendre cela, il faut apprendre à modifier sa susceptibilité.
 Cette certitude que l'expression de soi oser va conduire à l'abandon fait cheminer directement vers un cul de sac mental, à s'isoler donc !

Que faire ?
Comment ne plus subir la mauvaise humeur de vos contemporains, ne plus trembler face au patron tyrannique ?
 Comment résister à des personnes autoritaristes ?
Tout commence par une décision...
découverte et mode d'emploi !

C'est décidé !
Aujourd'hui je "DÉCIDE" de ne plus me laisser envahir pour les enquiquineurs (ses), ne plus souffrir pour rien, bref je décide
de vivre le plus sereinement possible.
Tout commence par là :
"dire non"
"prendre une décision".

Pourquoi "Décider"?
Pour sortir de conditionnement de comportements devenus des automatismes, ceci vaut pour aborder toute "modification" ou "atténuation" de comportement.

Nous avons besoin de conceptualiser une idée pour la mettre en pratique.
Déterminer que, "Non" vous ne voulez, pouvez plus "subir" les humeurs (mauvaises)
de vos contemporains (es)
ayant une fâcheuse tendance à miner votre moral.
Une parenthèse :
Certaines professions suscitent chez nos contemporains un amalgame entre "Vous" et votre métier
Moi, d'évidence, psy est mon métier, pas mon identité, je suis imparfaite comme vous !

Suivez les guides !
 Noël incline vers un retour en enfance, cet enfant sommeillant en chacun de nous, en recherche d'émerveillement.
Et cet enfant là ne le perdez jamais de vu

"Le malheur"
Fuyez les râleurs et râleuses, les victimes, victimisées, victimisantes, culpabilisantes "enfermées"dans cet état e de vie, ceux et celles dans la complainte permanente.
 Il y a des individus ainsi fichus pour lesquels rien ne va jamais.
La complainte du malheur nourrie leur propos ou ils rouspètent sans cesse, cela pouvant aller jusqu'à l'humiliation.
Ceux là sont habités par une rage de ne pas, ne serait-ce qu'un peu, tenter
d'aller mieux.
Ils pleurent sur  un (mauvais) sort en se contemplant le nombril,  ruminant
jour et nuit que la vie est injuste, que les autres sont responsables de tous leurs
malheurs, etc..
Si, vous ne rentrez pas dans leur "jeu", "JE" semble plus approprié, la colère, les reproches sont, alors, leur mode d'expression.
Autrement dit, ces gens là ne supportent pas la contradiction prise comme une opposition.

Fuyez vite ! Opposez-vous !
Urgence survie ! 
Opposez vous, osez dire ce que vous n'aimez pas, ne vous convient pas, plus !
Une bonne dose de colère, pimentée de narcissisme vous aidera à refuser de "subir" encore et encore les bouffeurs d'énergie mentale.
Explication :
 si vous croisez, rencontrez, connaissez ce « type » de personnalité « récurrente » dans le malheur et la dépendance, demandez-vous si vous n'êtes pas,
la victime culpabilisée par l'autre (sur)vivant en pompant votre énergie.
Ceci dépendant de la nature de la relation, que se soit votre patron, votre employé, un ami, votre mère, père... 
OSEZ le NON !
Utilisez votre droit de veto à l'abus d'autorité.

Manipulation
Ne pas vouloir se prendre en charge, dénote une « sorte » de manipulation.
Je vous entends "regimber"...
Comment, moi une manipulateur ou manipulatrice.
Jamais !
Nous sommes tous des manipulateurs en puissance, et plus l'inconscient agit, plus la manipulation est forte.

Cela vaut aussi pour les personnalités quasi "tyranniques"
L'autre, vous en l’occurence devient le seul et unique détenteur du bien être, ou le souffre douleur, du moins vous le ressentez ainsi.

Ne devenez pas l'esclave de ceux et celles " clos en eux-mêmes"!
 Incapables, plus encore ne le désirant, ne l’envisageant pas une seconde, de se prendre en charge !
Entre, voir la vie en rose bonbon ou juste en noir, la palette des couleurs "mentales " est vaste.
Refusez les humiliations ? Nul n'a le droit de mépriser un être humain.

Le bonheur


Se laisser porter par l’autre parfois, recèle des trésors de béatitude.
Etre dorloté(e), chouchouté(e) quel bonheur.
 Un jour, une heure, un weekend remettre sa vie entres les mains d'un(e) ami(e) est un pur moment d'extase !
 Nous avons tous le droit et le devoir, de laisser le monde tourner sans nous quelques minutes ou heures, pour repartir au top !

Agir.
Dites "NON", sans laisser la culpabilité vous envahir.
Materner à outrance, « paterner »  "accepter l'inacceptable" au delà du raisonnable, maintient l'autre
dans sa prison mentale et renforce le tyran dans ses complexes de domination.
Et si le rapport s'écrit sur le mode dominant, tyrannique, dire "Non" n'aura jamais de conséquences si dramatiques que celles envisagées dans votre pire scénario.

C'est votre supérieur, votre patron, votre partenaire de vie ?
Combien d'années endurerez-vous le mépris, cet emploi ou cette relation valent elles autant de souffrance ?
Décidez pour votre équilibre mental, cette attitude d'affirmation.
Plus vous vous taisez, plus la situation devient un cercle infernal, d'où nul ne sortira indemne. 
Surtout pas vous !

C'est décidé...
 les petits tracas passent bien vite, tant qu'on les considère
pour ce qu'ils sont....des broutilles.
Survolés, ils s'envolent bien vite, ruminés ils obsèdent.


Autres cas de figure
Les gros problèmes de la vie fortement émotionnels, acceptez les.
Ou/et  rebondissez selon l’intensité et l’origine du souci.
 L'existence est ainsi,  peu à peu l'amour de la vie revient
L'instant  désarçonne,  tanne l'âme ! 
Acceptation d’un moment difficile ?
 Est-ce possible ?
 Oui, quand  vous n’avez aucune prise sur une situation.
Comprendre que tout n’est pas rose en permanence donne l’énergie, la force, 
la philosophie, enfin ce que vous voulez, pour ne pas « tomber » !


D'ou l'urgence d'apprécier le moment présent et ses petites félicités lorsqu'elles sont là !
Acceptez le bonheur, comme le malheur, le vrai, auquel nul humain
n'échappe un jour ou l'autre.
Pour renaître, il faut le décider, décider que quoiqu'il
advienne, vous serez "bien".


DECIDEZ de  vous protéger, de poser des limites aux exigences de l'autre.
 Sans cette conviction,
 face aux aléas de la vie, vous serez ballottés (es), en souffrance permanente,
le bonheur glissera sur votre existence, sans que jamais vous ne le touchiez du doigt.
Quel dommage !
L'être humain, possède chevillé au corps l'instinct de survie.

Pourquoi
vivre, survivre dans le stress, le mélodrame, la dramatisation ?
Quoiqu'il advienne il s'accroche à la vie ?
Ce choix de "vivre", non de "survivre", vous appartient.

Le passé construit, mais cet "hier" ancré dans la mémoire, notre chaire,
 s'il laisse d'indélébiles traces
est irréversible, la machine à remonter le temps n'existe pas.
Aimez, aimons la vie, ses petits "riens", ses moments de douceurs et de violences, de joie et de tristesse.
Vivre chaque seconde comme la dernière (ou presque) est un entrainement très positif.
Décidez, de vivre bien et content !

Nous ne sommes pas tous "chaussés" de la même façon, l'escalade sera plus facile pour certaines personnes que d'autres.

Certaines et certains sont peut être plus doués(es) que d'autres pour la symphonie
du bonheur ????
Peut être ?
Quelque soit le mode de vie,
le niveau social, la culture, vous avez le choix d'aborder votre parcours de vie
sous différents angles.

 Vous avez la position « bonne humeur »"dédramatisation"
 ou 
le mode "grincheux, frustré, insatisfait, dormeur, râleur, tyran".
Ou le mode "Joyeux", vous savez l'enfant rieur à retrouver.
Ayez confiance en vos capacités à vivre mieux !


Réflexion personnelle  et constat :
Grande voyageuse, j'ai rencontré plus de bonne humeur, de convivialité et de joie de vivre chez les habitants de pays pauvres que dans notre société.

Vivre content et imparfait est un état de vie qui se cultive !

Chiffre à l'appui, le confort mène vers la déprime, la frustration...
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