Amour addiction ! Dépendance ou shoot a l'amour ?
Découvrons aujourd'hui d'autres formes de dépendance affective.
Amour drogue, amour passion, amour thérapie ?
Il existe plusieurs façons d'aimer et le, la partenaire n'a parfois que le rôle de faire valoir, d'objet de plaisir.
Certains et certaines vibrent comme à contrario sur la gamme amoureuse.
Entres fausses notes, mauvais accords ils et elles confondent amour et "être" !
S'il est vrai qu'aimer et être aimé(e) fait s'envoler vers des cieux merveilleux, le sentiment amoureux se décline sur des modes, émotions fort variées.
Jouez, jouez mais jouez juste, enfin le plus juste possible.
Peut-on établir un lien entre la réelle dépendance affective
et le besoin viscéral d'être amoureux ?
Oui,
avec des nuances très importes dans la manifestation du sentiment amoureux et dans la façon intime de le vivre.
Pour le dépendant affectif,
se traduit par une incapacité à faire seul(e), à se figer dans l'attente.
à se conformer aux attentes(suposées) de l'autre
Pour le shooté à l'amour,
l'autonomie reste présente, il/elle ne vit pas que pour l'autre, il/elle n'occulte pas ses besoins personnels mais être aimé(e) le métamorphose ce qui peut le/la rendre étouffant(e).
Pourquoi ce besoin d'attention exagérée, exaspérée et exaspérante ?
L'histoire commence il y a longtemps.
Mémoire du passé:
"Petit(e) déjà vous sollicitiez le regard des adultes, qui sont toujours bienveillants envers un enfant agréable et encore plus quand un petit enfant, fille ou garçon, les amuse".
Que cherchez-vous ?
Rien & tout, à être aimé(e) surement et plus encore ?
Le besoin de se "différencier" marque, très tôt, certains enfants.
L'innocence revêt toujours un caractère captivant et drôle.
Vous captiez la galerie comme d'autres volent la liberté en transgressant les limites.
Comme la main tendue vers ce miroir reflet de la beauté ou de la laideur ?
Amour drogue, amour passion, amour thérapie ?
Il existe plusieurs façons d'aimer et le, la partenaire n'a parfois que le rôle de faire valoir, d'objet de plaisir.
Certains et certaines vibrent comme à contrario sur la gamme amoureuse.
Entres fausses notes, mauvais accords ils et elles confondent amour et "être" !
S'il est vrai qu'aimer et être aimé(e) fait s'envoler vers des cieux merveilleux, le sentiment amoureux se décline sur des modes, émotions fort variées.
Jouez, jouez mais jouez juste, enfin le plus juste possible.
Peut-on établir un lien entre la réelle dépendance affective
et le besoin viscéral d'être amoureux ?
Oui,
avec des nuances très importes dans la manifestation du sentiment amoureux et dans la façon intime de le vivre.
Pour le dépendant affectif,
se traduit par une incapacité à faire seul(e), à se figer dans l'attente.
à se conformer aux attentes(suposées) de l'autre
Pour le shooté à l'amour,
l'autonomie reste présente, il/elle ne vit pas que pour l'autre, il/elle n'occulte pas ses besoins personnels mais être aimé(e) le métamorphose ce qui peut le/la rendre étouffant(e).
Pourquoi ce besoin d'attention exagérée, exaspérée et exaspérante ?
L'histoire commence il y a longtemps.
Mémoire du passé:
"Petit(e) déjà vous sollicitiez le regard des adultes, qui sont toujours bienveillants envers un enfant agréable et encore plus quand un petit enfant, fille ou garçon, les amuse".
Que cherchez-vous ?
Rien & tout, à être aimé(e) surement et plus encore ?
Le besoin de se "différencier" marque, très tôt, certains enfants.
L'innocence revêt toujours un caractère captivant et drôle.
Vous captiez la galerie comme d'autres volent la liberté en transgressant les limites.
Comme la main tendue vers ce miroir reflet de la beauté ou de la laideur ?
Renverra t'il la vérité ou la peur teintée de manque de confiance faisant s'interroger sur sa propre existence ?
Se shooter à l'amour pour se sentir "être" que l'on soit dépendant ou addict à l'amour se traduit par des comportements similaires.
Le rôle de l'autre dans la relation :
Il est objet
Qui suis-je dans le regard de l'autre ?
Ce regard qui n'a qu'un devoir :
celui d'être "posé" sur vous avec attention, délicatesse et amour !
Sans Amour vous n'êtes pas !
Vous le savez et composez avec cet état.
L'autre, s'il déroge et que son regard s'égare...
gare à la sanction, à la scène qui sera orageuse, passant de quelques gouttes/larmes à la menace pour se terminer en un éclat fracassant de cris, effondrement et/ou une bouderie d'enfant !
Comédie ou sincérité ?
Boulimique de l'amour, addicte au regard, sollicitant sans cesse l'attention et les intentions comme l'enfant qui tâtonne ne sachant où se situe la limite de l'amour, celui reçu ou donné.
L'amour procure au dépendant comme au shooté à l'amour
la preuve de sa légitimité.
Il est, a le pouvoir sur l'autre !
La dépendance c'est, entre autre, la recherche de la fusion mère/enfant, le besoin du corps à corps à jamais nostalgique.
Disons le franchement la dépendance dénote un stade psycho-affectif fragile et infantile.
Une nuance toutefois l'addict à l'amour c'est :
l'amoureux(se) de l'amour,
le besoin d'adrénaline, le shoot du coup du foudre, le désir de l'émotion première, celle de la rencontre, de la sensation enivrante et forte.
Aimer pour vivre, vivre pour aimer toujours dans l'exaltation et le désir/plaisir.
C'est aimer à fond, avoir besoin de l'amour, sans le vivre dans la souffrance !
L'ennui terrifie !
Lorsque la passion s'éloigne, ce dépendant là cherche un(e) autre partenaire.
Mais,
il en est parfois de même pour le dépendant affectif, du moins au tout début de la relation dans l'après à force de vivre l'amour sur le mode souffrance pensera trouver, enfin, la personne idéale amoureuse à vie et rassurante toujours !
Toutefois le vrai dépendant affectif quitte plus difficilement que le shooté à l'amour
Deux formes de dépendance amoureuse,
une toile de fond commune :
"l'autre" perçu comme porteur de "vie" et de bonheur et de "sentiment d'existence".
La même désillusion :
ces amours n'offrent jamais la "rassurance" totale pour l'un et pour l'autre la recherche d'un" amour idéal".
Si, le doute s'estompe au début de la relation et il reprend toute sa place au fils du temps.
N'oubliez pas que la dépendance est un symptôme anxieux, que le besoin de shoot à l'amour traduit une peur !
Une psychothérapie en TCC aide à comprendre les mécanismes de ces comportements
Le "pourquoi" de ces dépendances et le "comment" les affronter
permettent de vivre en s'acceptant, de canaliser ces peurs de l'amour et la crainte d'en manquer.
Pensez à consulter les articles sur la dépendance, voir "libellés" à droite du site "dépendance affective"
Question, doute, un conseil je consulte par téléphone :
toutes les informations sont :ici
Se shooter à l'amour pour se sentir "être" que l'on soit dépendant ou addict à l'amour se traduit par des comportements similaires.
Le rôle de l'autre dans la relation :
Il est objet
Qui suis-je dans le regard de l'autre ?
Ce regard qui n'a qu'un devoir :
celui d'être "posé" sur vous avec attention, délicatesse et amour !
Sans Amour vous n'êtes pas !
Vous le savez et composez avec cet état.
L'autre, s'il déroge et que son regard s'égare...
gare à la sanction, à la scène qui sera orageuse, passant de quelques gouttes/larmes à la menace pour se terminer en un éclat fracassant de cris, effondrement et/ou une bouderie d'enfant !
Comédie ou sincérité ?
Boulimique de l'amour, addicte au regard, sollicitant sans cesse l'attention et les intentions comme l'enfant qui tâtonne ne sachant où se situe la limite de l'amour, celui reçu ou donné.
L'amour procure au dépendant comme au shooté à l'amour
la preuve de sa légitimité.
Il est, a le pouvoir sur l'autre !
La dépendance c'est, entre autre, la recherche de la fusion mère/enfant, le besoin du corps à corps à jamais nostalgique.
Disons le franchement la dépendance dénote un stade psycho-affectif fragile et infantile.
Une nuance toutefois l'addict à l'amour c'est :
l'amoureux(se) de l'amour,
le besoin d'adrénaline, le shoot du coup du foudre, le désir de l'émotion première, celle de la rencontre, de la sensation enivrante et forte.
Aimer pour vivre, vivre pour aimer toujours dans l'exaltation et le désir/plaisir.
C'est aimer à fond, avoir besoin de l'amour, sans le vivre dans la souffrance !
L'ennui terrifie !
Lorsque la passion s'éloigne, ce dépendant là cherche un(e) autre partenaire.
Mais,
il en est parfois de même pour le dépendant affectif, du moins au tout début de la relation dans l'après à force de vivre l'amour sur le mode souffrance pensera trouver, enfin, la personne idéale amoureuse à vie et rassurante toujours !
Toutefois le vrai dépendant affectif quitte plus difficilement que le shooté à l'amour
Deux formes de dépendance amoureuse,
une toile de fond commune :
"l'autre" perçu comme porteur de "vie" et de bonheur et de "sentiment d'existence".
La même désillusion :
ces amours n'offrent jamais la "rassurance" totale pour l'un et pour l'autre la recherche d'un" amour idéal".
Si, le doute s'estompe au début de la relation et il reprend toute sa place au fils du temps.
N'oubliez pas que la dépendance est un symptôme anxieux, que le besoin de shoot à l'amour traduit une peur !
Une psychothérapie en TCC aide à comprendre les mécanismes de ces comportements
Le "pourquoi" de ces dépendances et le "comment" les affronter
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